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Alors que l’enquête officielle se poursuit, un expert en aviation connu sous le nom de Capitaine Steve avance une hypothèse saisissante. Selon lui, une erreur de manipulation pourrait avoir été fatale. Dans une vidéo largement diffusée, il explique que le copilote aurait pu, par erreur, rétracter les volets au lieu de rentrer le train d’atterrissage.
Ce détail n’est pas anodin : les volets sont essentiels pour assurer la portance de l’avion durant le décollage. Les rétracter trop tôt revient à priver l’appareil de sa capacité à se maintenir en l’air. Résultat ? Perte de portance, décrochage, puis chute.
Des indices visuels troublants
D’autres professionnels, comme Alastair Rosenschein, ancien pilote chez British Airways, confirment que les premières images montrent que le train d’atterrissage était toujours déployé au moment du crash — un élément qui renforce la thèse d’un problème technique ou humain. Par ailleurs, la Ram Air Turbine (RAT), visible dans certaines séquences vidéo, indique qu’un grave incident électrique ou mécanique est survenu dès les premières secondes de vol.
Le récit bouleversant de l’unique survivant
Parmi les 242 personnes présentes à bord, seul Vishwash Kumar Ramesh, un Britannique de 40 ans assis près d’une issue de secours, a survécu. Depuis son lit d’hôpital, il raconte les instants qui ont suivi l’impact : « J’ai entendu un bruit sourd, puis tout s’est effondré. Il y avait des corps partout. J’ai réussi à me libérer et j’ai couru à travers les débris. »
Son témoignage souligne l’extrême brutalité de la scène… et le caractère extraordinairement improbable de sa survie.
Une enquête toujours en cours
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