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“Thigh gap” : l’obsession minceur qui détruit des vies en silence

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Une obsession qui met la santé en péril

Le problème, c’est que cette obsession minceur a des conséquences concrètes. Pour atteindre ce “thigh gap”, certaines jeunes filles adoptent des régimes sévères, voire dangereux. Elles réduisent drastiquement leur apport calorique, s’entraînent plusieurs heures par jour, ou évitent certains aliments essentiels. Résultat : carences, épuisement, troubles du comportement alimentaire.

Derrière l’apparence, les dégâts s’installent lentement. L’obsession devient un repère, puis une addiction. Chaque reflet dans le miroir devient une évaluation. Chaque centimètre de peau jugé “trop proche” devient une source de stress. Cette quête obsessionnelle isole, fragilise, abîme la santé mentale.

En parallèle, la société valorise cette silhouette fine sans jamais en exposer les dangers. Pire : certains algorithmes amplifient la diffusion de contenus associés au thigh gap, renforçant la boucle de l’obsession. Pourtant, le prix à payer est lourd. Anxiété, troubles alimentaires, hospitalisations : de plus en plus de professionnels de santé tirent la sonnette d’alarme.

Une question de morphologie, pas de volonté

Ce que la majorité des gens ignore, c’est que cet écart entre les cuisses n’est pas accessible à toutes. Il ne dépend pas uniquement du poids. La forme des os du bassin, la structure musculaire, l’inclinaison des hanches jouent un rôle déterminant. Même une personne très mince, avec un pourcentage de masse grasse très bas, ne pourra pas forcément avoir un thigh gap.

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