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Tout a commencé cinq semaines après la naissance de mon fils. Mon mari, pensant bien faire, avait invité sa mère à venir m’aider. Mais très vite, la situation a dérapé. Au lieu d’un coup de main, c’était un quotidien rythmé par des visites imprévues, un désordre ambiant et des soirées où je me retrouvais isolée, épuisée par le rythme effréné de mes nouvelles responsabilités.
Un soir, alors que je donnais le biberon à notre bébé dans la chambre, j’ai eu la surprise de découvrir, en redescendant, un salon en désordre et un réfrigérateur totalement vide. À ma question sur le dîner, ma belle-mère a répondu avec désinvolture : « On a pensé que tu n’avais pas faim. » Et mon mari, d’un ton moqueur : « Tu pourrais au moins faire la vaisselle. Tu ne fais pas grand-chose ici. »
Ces paroles m’ont profondément blessée. Épuisée, submergée par les émotions, j’ai ressenti un immense sentiment de solitude. Mais au lieu de céder à la tristesse, j’ai pris une décision.
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